En premier lieu, je crois que la conciliation du travail et des études est bénéfique, car elle permet aux jeunes d’apprendre de nombreuses leçons de vie. D’abord, nous sommes tous conscients que la conciliation travail-études nécessite un effort et n’est pas toujours facile. Bien que ce ne soit pas approprié pour les gens ayant un horaire déjà trop chargé, travailler en même temps qu’étudier devient généralement un défi surmontable par les élèves. En relevant ce défi, les élèves apprennent à gérer leur temps, à s’organiser, à planifier leurs études, à connaître leurs priorités et surtout à développer une autonomie. De plus, cette expérience est utile pour le reste de la vie.

  En deuxième lieu, je crois qu’une conciliation travail-études permet aux élèves de réaliser la vraie valeur de l’argent et d’être capables de comprendre le plus tôt possible comment notre système fonctionne, en plus d’apporter un soutien financier. D’abord, le travail durant les études permet de faire l’expérience d’un vrai emploi, ce qui est toujours très utile dans un curriculum vitae. Ensuite, lorsque l’élève a travaillé pour l’argent qu’il veut dépenser, il établit un lien entre ses dépenses et le nombre d’heures travaillées. Ça lui permet d’être plus raisonnable dans ses achats et il apprend à gérer un budget. Enfin, même si ce n’est pas le cas de tous, un salaire peut aider un étudiant à payer ses études ou d’autres dépenses si ses parents ne le soutiennent pas financièrement. S’ils le supportent, c’est toujours un avantage d’avoir un peu plus d’argent!

  Pendant des centaines d’années, les pays occidentaux se sont battus pour obtenir la démocratie et le droit de vote aux citoyens. Il va de soi que ceux qui se sont battus pour obtenir ce droit se considéraient chanceux. Or, on réalise aujourd’hui qu’il y a parfois des gens qui ne veulent aucunement participer à politique de leur pays et qui peuvent nuire aux résultats. Par conséquent, certains pensent qu’il serait nécessaire d’établir un permis de vote. Selon moi, même si certains peuvent être considéré inaptes à pouvoir voter, tout le monde devrait avoir ce droit puisque nous sommes égaux devant la loi, nous avons tous le potentiel d’être citoyens responsables et la démocratie ne discrimine personne.

Chère Madame Vachon,

Dans votre texte « Les soutanes vertes débarquent », vous expliquez comment l’extrémisme de certains écologistes fait déraper le message vert. Je crois que vous ne vous concentrez que sur un problème mineur.

Premièrement, les extrémistes ne représentent qu’une minorité des écologistes. Même si leur voix porte plus souvent que les autres, ils ne sont pas assez nombreux pour faire de grands dommages à l’idéologie écologique. Deuxièmement, les gens savent normalement faire la distinction entre les extrémistes et ceux qui restent raisonnables. La preuve, c’est que vous, simple citoyenne, savez faire la distinction. À mon avis, les gens ne feront que rejeter les idées extrémistes de façon naturelle. En troisième et dernier lieu, je pense que les gens extrémistes n’ont pas à être jugés comme cela. Malgré leur ferveur, ils sont des citoyens responsables qui ont décidé de baser leur vie sur la sauvegarde de la planète. Ce sont des exemples à suivre.  D’après moi, et c’est normal pour les gens comme nous, leur réalité est trop loin de la votre pour que vous puissiez considérer leurs activités comme rationnelles.

En somme, je pense que votre réaction est un peu exagérée, car vous vous concentrez sur un problème mineur, vous croyez que les gens se feront berner par les idées plus extrêmes et vous êtes trop loin de ce milieu de vie.